Après 4 ans de commercialisation et sans doute un bon bain de boue, le design du Compass est renouvelé tandis que ses technologies et ses moteurs sont mis à jour.
Selon Jeep, il s’agit bien d’un tout nouveau modèle, mais, de l’extérieur, cela ressemble plus à ravalement de façade de mi-carrière. Le changement se voit au niveau de la face avant et des optiques qui ont été redessinées. En revanche, à l’intérieur, les travaux tendent plus vers une véritable rénovation. Fini les compteurs, place aux écrans. Le combiné d’instrument est désormais entièrement digital et mesure 10,25 pouces. Plutôt qu’incorporé dans la planche de bord, l’écran central se situe maintenant au-dessus de cette dernière dont le dessin est beaucoup plus épuré. En fonction du niveau d’option, la diagonale de cet écran varie entre 8,4 et 10 pouces.
Les mises à jour ne sont pas que cosmétiques. Les aides à la conduite font un bon en avant et permettent au Compass de jouir de la conduite autonome de niveau 2. En somme, il est capable de rester au milieu de sa bande sur l’autoroute en suivant la voiture qui le précède. À part garder les mains sur le volant, le chauffeur ne doit plus se soucier de grand-chose. Le Compass lit dorénavant aussi les panneaux de signalisation pour adapter la vitesse de son régulateur.
Sous le capot, le Compass offre différentes possibilités. D’abord, un 1.3 essence de 130 ou 150 ch dont les émissions de CO2 ont baissé de 27% par rapport à la précédente génération. Ensuite, un unique moteur diesel développant également 130 ch. Toutes ces motorisations ne sont disponibles qu’en traction. Pour profiter des 4 roues motrices, il faudra obligatoirement se diriger vers les versions hybrides rechargeables de 190 ou 240 ch.
5 niveaux de finition sont proposés : Sport, Longitude, Limited, S et Trailhawk. Les prix débutent en Belgique à 28.490 € pour le plus petit moteur essence en version Sport… et culminent à 44.590 € pour la version haut de gamme équipée d’un moteur hybride rechargeable.
(Source : Vroom)